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La psychologie est une connaissance qui comporte plusieurs aspects d’application. En général, elle étudie l’irritabilité, les émotions et la honnêteté. Dans certains régions, les thérapeutes guident les gens afin de produire une meilleure qualité . Mais qui les guide eux ? Suivent-ils eux aussi une psychothérapie ? La psycho est un métier qui s’avère être combinée à un nombre élevé de mythes. Les psychologues sont-ils fous ? Comment les thérapeutes peuvent-ils avoir des problèmes ? Seules les personnes qui ne sont effectivement pas bien dans leur tête vont auprès d’un psychologue. On connaît même la phrase classique que un grand nombre de professionnels de la question ont entendue sous prétexte que un motet à une critique : « toutefois vous êtes un psychologue ».On définit la psychothérapie puisque « un traitement psychologique pour un attendrissement état psychologique, pour des excitation comportementales ou pour tout autre souci entraînant une désespoir ou une détresse vécu qui a pour cible de privilégier, auprès d’un clientèle, des significatifs dans son principe référentiel, émotif ou comportemental, dans son système interpersonnel, dans sa personnalisation ou dans son état physique. Ce traitement va plus loin d’une assiste joignant à guerroyer les difficultés communes ou d’un rapport de conseils ou de soutien » [26]. on doit la marquer d’autres variétés d’approches :Celui ou celle qui projete faire cette manigance psychothérapique viendra rencontrer un psychothérapeute-psychanalyste. Les premiers temps de la cure seront ceux d’une psychanalyse, en les yeux dans les yeux. Puis, lorsque le harangue du malade l’y autorisera, le psychothérapeute-psychanalyste proposera au patient de ramper sur le canapé et d’être psychanalysant ( affected individual en psychanalyse ). Le psychanalysant entamera ainsi sa dissection, qui le conduira vers des abjuration veritables et durables de lui-même et de son principe psychique, et un apaisement véritable de ses souffrances et de ses signes.Le rôle du psychologue est d’abord de savoir dénouer les , trouver les troubles et troubles, accompagnant une site thérapeutique. Il peut exécuter des tests, des entretiens, etc. Un psychologue peut à ce titre ajouter à ses compétences un savoir-faire thérapeutique, par exemple en suivant une examen ou une formation à un procédé de thérapie. Il pourra de ce fait intervenir directement sous prétexte que thérapeute. Mais cette qualité n’est pas sanctionnée par son diplôme de psychologue.La thérapie cognitivo-comportementale fait partie des médicaments les plus pertinents pour la dépression. certaines recherches révèlent que la TCC aide les patients à surpasser les symptômes de la dépression, sous prétexte que le détresse, la irritation et le manque de motivation, et réduit leur risque de rechute demain. On prétend que la TCC fonctionne très efficacement particulièrement du fait des dans la notion ( conçues ) qui alimentent des vélocipède roué de ressentis néfastes et de dégorgement. La recherche publiée dans le journal Cognitive Behavioral Therapy juridiction Mood Disorders a révélé que la TCC est question aussi tant bien en prévention contre les épisodes soprano de dépression qu’elle peut être utilisée en complément ou même en ersatz des traitements antidépresseurs. La TCC s’est également révélée prometteuse du fait que approche pour donner les moyens de lutter contre la dépression post-partum et associer du traitement médicamenteux pour les patients bipolaires.Ces démarches ont la possibilité traiter très loin du signe le plus evident : on commence une psychothérapie à cause d’un souci au travail et on se rencontre à traiter un manque émotionnel. Certains des supports classiques des thérapies psychanalytiques sont l’association verbale simple, l’analyse des rêves, l’instruction d’un journal personnel ainsi que la prise en compte des pratiques de déplacement, ce qui signifie la projection de envies ou de situations inconscientes du client vers son thérapeute. Certaines difficultés mentals peuvent être liées, ainsi, à des pensées ou à des comportements inadéquats qu’on a appris ou pratiqués – fréquemment malgré soi. Ils peuvent s’apparenter à des réactions « incontrôlables » qui surgissent instantanément en certaines circonstances ( dès que je vois un motard, je me sens fautif; si je n’ai pas d’amoureux, je ne vaux plus rien, etc. ) Les thérapies cognitives et comportementales ( TCC ) apportent d’observer de façon transparente et d’analyser avec insouciance ces comportements et ces pensées, d’apprendre des comportements et de remplacer les pensées ou les émotions non convoitées par d’autres qui sont davantage adaptées. On recherche des problèmes avantageux à d’élucider et une agissement thérapeutique est implantée en commun ( déconditionnement progressif, clarification des mécanismes de défense, variations des croyances, etc. ).
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